Nourrir notre force intérieure

Chères toutes et chers tous,

Le contrôle de nos vies par l’administration et la procédure (devenues saintes) peut nous conduire, si nous n’y prenons garde, à une sorte de capitulation et défaitisme intérieur. Il est impératif pour cela de s’auto-observer en permanence: qu’est-ce qui m’est acceptable ? Comment réagit mon être et mon corps (le corps ne ment jamais) à une contrainte ou une limitation de ma liberté fondamentale ?

Je vous parle de cela, car j’ai vécu une expérience de contrôle inutile durant le processus de déménagement. On se sent devenir un objet de statistique et de contrôle. Nous sommes mis à nu.

Se battre, c’est perdre de l’énergie. Ne pas réagir, c’est « avaler » une colère ou une frustration. Où se trouve le chemin du milieu ? Comment faire pour se respecter sans entrer dans des luttes inutiles ?

Je pense qu’il faut déjà être conscient de manière aiguisée de ce qui se passe. Ceci afin de pouvoir préparer son être entier à des situations où l’on devra réagir.

J’ai trouvé cette petite citation dans un film:

« On ne sait jamais à quel point on est fort, jusqu’à ce qu’être fort soit notre seul choix. »

Je vous laisse à ces réflexions.

Pour cette semaine, soyons dans une attitude de bonté et de bienveillance (mais pas idiote et naïve) dans notre quotidien. D’abord envers nous-même, et ensuite envers ceux que nous côtoyons.

Je vous envoie force et lumière.

Envie de partager vos réflexions, vos expériences, vos idées ? Ecrivez-moi et je les posterai ici.

Retrouvez-nous sur Télégram